La peine de mort est le châtiment légal infligé à un être humain qui a commis un acte puni par cette peine. La mort est ici donnée volontairement au condamné.
Il existe dans tous les peuples de la terre, un fondement jurudique basé sur un fondement religieux qui sacralise l'être humain et qui damne celui qui tue son prochain.
Voir les Dix Commandements.
L'avortement n'est que le rejet hors du corps de la mère de l'être mort dont la gestation n'a pu être menée jusqu'au terme de la naissance d'un être vivant.
La mort de l'être humain dans le ventre de la mère peut avoir plusieurs causes :
- la mort naturelle par maladie, insuffisances congénitales, etc.
- la mort causée accidentellement (accident d'auto, de sport ou (médicament, drogue alcoolisme, etc.)
- la mort volontairement donnée par chimio-intervention, médicament-poison, tricotage des avorteuses, intervention chirugicale, etc.
L'avortement volontaire résulte donc de la mise à mort d'un sujet, qu'il soit animal ou humain, avant qu'il soit né sans que cet être, s'il est humain, soit rendu coupable d'un acte quelconque justifiant cette mise à mort, soit sur le plan moral, soit sur le plan juridique.
Il ne s'agit pas là de l'exécution d'une sentance mais d'un acte de mise à mort délibéré au gré d'une mère, d'une famille ou d'un état (rare).
Dans les pays occidentaux en voie de déchristianisation et de sous-développement moral et dans les pays communistes totalitaires et matérialistes, il est de plus en plus admis que de droit on puisse tuer, autoriser la tuerie organisée ou inciter à la mise à mort préméditée des tout-petits dans le but de faire avorter la mère.
Cet acte caractérisé mis au point puis codifié par un certain Yves Héget est désigné par une èspèce d'euphémisme tarabiscoté "d'Intervention Volontaire de Grossesse".
Déjà le terme d'interruption laisse penser que si on interompt une grossesse, on peut la relancer, ce qui est évidemment impossible. Un avortement est irrémédiable pour lêtre en gestation.
Bref, le pauvre Yves Héget ne se sentait pas trop les cuisses propres dans cette affaire mais que voulez-vous, la politique, les élections et tous ces gueulards de soixante-huitards échevelés qui baisaient à couilles rabattues au lieu de faire la guerre aux viètes ou aux ratons, il fallait bien leur donner un os à ronger si on voulait se venger de cette vieille droite catholique !
Les adeptes de l'avortement volontaire font de cette pratique immonde et contre nature une règle de vie et vont même jusqu'à militer pour l'imposer à toute la société a partir de prétextes plus que de motifs fondés qui sont principalement d'ordre économique et par la volonté d'affirmation d'un égoïsme délétère voire génocidaire quand des états poussent à la dénatalité par le moyen de pratiques abortives à grande échelle.